Logorama press review
(english available at the bottom)
FR/
MAJ 26 février 2011
Félicitations de La Semaine de la Critique.
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MAJ 17 mars 2010
Un article de Cécile Mury dans Télérama (n°3140 – 17 mars)
MAJ 15 mars 2010
Un article dans l’hebdomadaire des professionnels de l’audiovisuel écran total (n°794 – 10 mars)
MAJ 09 mars 2010
Logorama remporte l‘Oscar du meilleur court métrage d’animation lors de la 82eme cérémonie des Oscars, on en parle sur :
MAJ 06 mars 2010
Un bel article dans le magazine Première de mars 2010
MAJ 27 novembre :
Un article dans le magazine Positif :
MAJ 19 novembre :
Deux articles dans les magazine Shots et Dazed.
Dazed
Shots :
Motionographer.com, site spécialisé dans l’animation, l’infographie, le design, et les art graphique en générals, consacre un long article a logorama :
There’s been a lot of talk recently about the new animated film, Logorama created and directed by the French design collective, H5. Its particularity, as we all know by now, is that not only does it star the evil killer Ronald McDonald, who is pursued by a bunch of fat Michelin Men cops, it is indeed a film created entirely from logos.
MAJ 21 octobre :
Télérama évoque Logorama dans son article “Connaissez-vous la Frenche Touche ?” sur l’émission Mensomadaire :
Logorama, ensuite. Un film sélectionnée et primé (Grand Prix de la Semaine de la critique) au dernier festival de Cannes, signé par H5, un collectif de graphistes déjà remarqués avec le clip fameux d’Alex Gopher, The Child. Logorama est une course-poursuite de 15 mn dans une ville américaine. Décors et personnages sont tous construits avec des logos détournés. L’animation typographique est d’une virtuosité sidérante. Le méchant est le clown de McDo, les flics sont des bibendums Michelin, et la pin-up d’Esso traîne dans le coin. L’affaire tourne à la prise d’otages… Etrange effet vraiment, que de voir ainsi les signes contemporains du libéralisme marchand s’incarner et s’entretuer. Un cauchemar où défilent Haribo, Avis, Master Card, EMI… mais aussi des logos historiques tels que la RAF de Baader et Meinhof ! Preuve que tout est devenu label, marque de fabrique…
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MAJ 16 octobre :
Dans le numéros du 13 octobre des Inrockuptibles les deux productions Lila et Logorama sont à l’honneur (voir l’article) ou lire l’article directement sur le site des Inrocks.
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Présenté pour la première fois à Cannes, primé, Logorama à reçu un accueil enthousiaste. Voici quelques uns des premiers articles de presse qui en parlent (des scans sont disponibles pour voir l’article en entier).
MAJ 2 juillet :
Vu sur des blogs :
Le film pointe le doigt sur un suprême paradoxe contemporain : l’impossibilité de reproduire le réel des sigles parasiteurs qui pourtant s’imposent à notre vue, (quasiment) où que nous nous trouvions dans l’espace urbain.
On découvre que ce collectif n’a aucune velleité anti-marque, au contraire. Et que les premiers spectateurs sont plutôt enthousiastes face à cet ovni.
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MAJ 30 juin :
Le magazine Bref -le magazine du court métrage- (juillet-août 2009), dans leur article sur Cannes et les courts des séléctions parrallèle évoquent logorama (voir l’article) :
A l’évidence, la Quinzaine comme la Semaine présentèrent chacune dans leurs rangs un film qui écrasa le reste de la concurrence. Au Palais Stéphanie, ce fut Montparnasse de Mikhaël Hers, sélectionné en séance spéciale. Et du côté de l’Espace Miramar, Logorama du collectif H5.
[…] Du coup, le meilleur du lot, attendu qui plus est depuis des lustres, ce fut Logorama, cu collectif H5, trois graphistes reponsables de pochettes de disques, de clips, pour Björk, Röyksopp et d’autres. Produit par Autour de minuit (décidement dans une bonne veine après Lila découvert à Clermont-Ferrand), mélant film d’action à la sauce hollywoodienne (pléonasme !) et animation libertaire, Logorama met en scène deux flics, deux bibendums Michelin, à la poursuite d’un Ronald McDonald prenant le kid Haribo en otage. Le film recompensé par le prix découverte Kodak du meilleur court, est, on l’a compris, uniquement constitué, pour ses foisonnants décors et ses nombreux personnages, de plusieurs centaines de logos respectueusement mis à mal dans une profusion de signes et de couleurs. Une œuvre pop que l’on gagne à revoir plusieurs fois, où le mauvais esprit et le détournement règnent en maîtres. Et l’un des chocs graphiques (autant que politique) de Cannes 2009
MAJ 24 juin :
Les Cahiers du Cinémas (juin 2009), dans leur article sur Cannes et le cinéma d’animation, parlent de Logorama (voir l’article) :
Logorama du collectif H5, déjà auteur de clips fabuleux dont The Child d’Alex Gopher, réalise un polar de synthèse, ébahissant et subversif, dont les protagonistes et les décors, de Bibendum Michelin au cocodile Lacoste, ne sont que des logos.
Technikart, de son coté, a refait le point sur le festival et reparle de logorama (voir l’article) :
A force d’usiner du clip et de la pub pour des executives goûtant peu leurs d”lires de sales gosses anars, les trois petits génies du collectif H5 ont fini par exorciser leurs frustrations en accouchant du court-métrage d’animation Logorama, micro-blockbuster tordant où le bibendum Michelin tient e rôle de Bruce Willis et Ronald McDonald, celui du bad guy psychopathe. Sans hésitation le plus beau casting du festival (cameos du Géant Vert, des Pringles, du gamin Haribo, du lion de la MGM…) et l’un de ses sommets comiques. Reste une vraie crainte puisque, pour d’évidentes raisons de copyrights, le film risque de ne jamais être exploité. L’attendre de pied ferme sur Daily Motion.
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On commence par Technikart qui couvrait quotidiennement le festival et qui à mis Logorama en couverture de l’édition du 20 Mai 2009. A l’intérieur on pouvait trouver une interview des 3 réalisateurs (voir l’article) :
Tout ce qu’on voulait c’était jouer aux legos… avec des logos…
On voulait foncer dans le tas en posant la question : « A-t-on le droit de représenter ce qui nous entoure ? ». Quand on l’a montré à des gens qui travaillent pour certaines de ces marques, la seule chose qu’ils nous ont dite c’est « mais comment osez-vous ? ».
Le Monde, à aussi fait une interview des réalisateurs, disponible en vidéo sur le site de dailymotion. Un article sur l’animation à Cannes en parle aussi (“des vedettes de plastique font l’animation à Cannes” sur le site du Monde):
Les héros de Logorama sont plus discrets, on ne les voit qu’à l’écran. Le film a enthousiasmé ses premiers spectateurs, mais son sort est incertain. Il n’est pas sûr que toutes les marques trouvent l’affaire drôle. Pour ces graphistes qui ont travaillé dans la publicité, le film est “un droit de réponse”, selon l’expression d’Hervé de Crécy, l’un des réalisateurs, un canular et un moyen d’amorcer un débat sur une idée de la liberté d’expression qui permet qu’on caricature les personnes physiques mais pas les marques.
Autre interview vidéo, bien plus longue, celle du site jeunesCinéaste.net, disponible aussi sur le site de dailymotion.
Liberation, a écrit un petit article sur le film dans son édition du 25 mai 2009 (scan disponible ici /site de libération) :
Logorama est l’œuvre de jeunes gens que la moitié de la planète s’arrache (réalisateur de clips d’Alex Gopher, Massive Attack ou Goldfrapp, directeurs artistiques pour Dior, Cartier et Saint Laurent, ou récents pensionnaires de Beaubourg et du MoMa). Leur jubilation à malmener jusqu’à l’outrage ces petits symboles intouchables de la puissance industrielle et financière, qui plus est sans demander l’autorisation aux marques en question, est particulièrement communicative.
Dans le NisiMagazine special Cannes (#7 21 mai 2009) à écrit un article -en anglais- (l’article) :
Un impressionnant travail visuel à été fait, faisant penser à un jeu de Monopoly, dans lequel l’on reconnait les plus grandes marques de notre époque. Ce sont les symboles de notre monde moderne, de notre langage commun -un Monopoly dans nos esprits voulant dire que tout peut être mesuré en termes marketing.
Mais est-ce possible? L’excellent humour des H5 nous rappelle qu’il y a encore une chance de réfléchir d’une autre façon : tant qu’il y aura une femme, un homme et une pomme (Mac de préférence), il y aura toujours une autre voix lactée (ndlt : en anglais “Milky Way”, la marque de chocolat), quelque part dans l’univers.
EN/
Update November 19
Two post in the magazine Shots et Dazed.
Dazed
Shots :
Motionographer.com, specialized web site in motion graphic, designs, animation and film making devotes a section to Logorama
There’s been a lot of talk recently about the new animated film, Logorama created and directed by the French design collective, H5. Its particularity, as we all know by now, is that not only does it star the evil killer Ronald McDonald, who is pursued by a bunch of fat Michelin Men cops, it is indeed a film created entirely from logos.
UPDATE june 30 :
Premiered in Cannes, awarded, logorama has received enthousiastic reviews. Here are some of the first newspapers (excerpts, and paper scan).
UPDATE june 24 :
Famous french magazine les Cahiers du Cinémas (june 2009) have spoke about logorama in they article about Cannes and animation movies (read it in french) :
Logorama of the H5 team, already directors of faboulous music videos as The Child by Alex Gopher, have made a CG Polar, dumbfound and subversive, were the characters and the sets, from Michelin’s Bibendum to Lacoste’s crocodile, are logos.
Technikart, back from Cannes, take a stock on the festival and re-talk about the movie (read it in french) :
A force d’usiner du clip et de la pub pour des executives goûtant peu leurs d”lires de sales gosses anars, les trois petits génies du collectif H5 ont fini par exorciser leurs frustrations en accouchant du court-métrage d’animation Logorama, micro-blockbuster tordant où le bibendum Michelin tient e rôle de Bruce Willis et Ronald McDonald, celui du bad guy psychopathe. Sans hésitation le plus beau casting du festival (cameos du Géant Vert, des Pringles, du gamin Haribo, du lion de la MGM…) et l’un de ses sommets comiques. Reste une vraie crainte puisque, pour d’évidentes raisons de copyrights, le film risque de ne jamais être exploité. L’attendre de pied ferme sur Daily Motion.
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Technikart, which was daily covering Cannes, has put logorama on cover of may 20 2009 issue. Inside the Technikart you can read an interview (in french) of the 3 directors (see it) :
All what we want was to play Legos… with logos…
We want to forge ahead asking : “Do we have the right to represent what’s arround us?”. When we screened the movie to people who was working for some of this trademarks, the only think they said to us was : “how dare you?”
Le Monde, french newspaper, has also made an interview, available in video on dailymotion (in french). An article called “plastic stars make the animation in Cannes”, talks about Logorama (in Le Monde web page in french) :
Heroes of Logorama are more discreet, we only see them on screen. The film received enthousiastic reviews from public, but movie’s fate is unsafe. It’s not sure that the tradmarks take it good. For this graphists, who comes from advertising, this movie is a “right of reply”, as Hervé de Crecy says, one of the directors, a hoax and a way to begin a debate about the freedom of expression that allow us to moke people but not trademarks.
Another video interview, from the website jeuneCineaste.net (young filmaker), is available on dailymotion too (in french).
Liberation, another french newspaper, has writen a little review of the film (see the scan /liberation’s website) :
Logorama is a film from young people wanted by half of the planet (directors of Alex Gopher, Massive Attack or Goldfrapp music videos, artistic directors for Dior, Cartier or Yves Saint Laurent, or recently guests in Beaubourg and the MoMa). Their rejoicing to mistreat untill the outrage this untouchable little symbols of the industrial and financial power, moreover without asking the rights to the trademarks, is particularly communicative.
NisiMagazine special Cannes (#7 may 21 2009) write a review too (see it) :
An impressive visual artwork has been created, reminiscent of a Monopoly-game, in wich we recognize all the bigest brands of our time. They are actually the symbols of our modern world, our common language –a Monopoly Inside our minds, meaning that evrything can be measured in marketing terms.
But can it ? H5’s excellent humour reminds us that there’s still a chance to think in different way : for as long as there is a woman, a man and an apple (Mac), ther could be another Milky Way, somewhere in the universe.